Théâtre
Pascal Durozier
Texte Jean Giono
Durée : 50min.
Mis en scène par Guy Pierre Couleau
Public : Enfants, adultes et poètes
Ce grand classique écrit en 1953, raconte l’aventure tranquille d’un berger solitaire.
Au cours de l’une de ses promenades en Haute-Provence, le narrateur a un jour rencontré ce personnage extraordinaire, qui plantait des arbres, des milliers d’arbres.
Au fil des ans, le vieil homme réalise son rêve : la garrigue aride et désolée est devenue une terre pleine de vie.
Une histoire simple et généreuse.
Le narrateur, personnage anonyme, effectue une randonnée dans une contrée située entre les Alpes et la Provence, région désertique où plus rien ne pousse excepté la lavande. Il campe alors auprès d’un « squelette de village abandonné » au milieu d’une « désolation » sans pareille, où pourtant la vie a jadis existé. Après une nuit de repos, il reprend son chemin mais manque bientôt d’eau. Il fait par chance la rencontre d’un berger silencieux nommé Elzéard Bouffier. Celui-ci lui offre à boire, puis lui propose de passer la nuit chez lui, dans sa maison de pierres. Le narrateur est impressionné par la bonne tenue de la demeure et par la vie placide et sereine du berger qui vit seul en compagnie de son chien et de son troupeau de moutons.
Alors que la nuit s’avance, le narrateur observe le berger en train d’examiner, de classer, de nettoyer puis de sélectionner, « un tas de glands ». Il en choisit finalement cent, qu’il met de côté, puis va se coucher. Le lendemain, le narrateur reprend sa route mais, intrigué, demande au berger s’il lui est possible de demeurer chez lui encore un jour. Le berger accepte puis prend la route avec son troupeau et son sac de glands. Le narrateur décide de suivre un chemin parallèle à celui du berger afin d’observer ce qu’il compte faire de ses glands. Ce dernier s’arrête enfin sur une petite clairière désertique et, à l’aide d’une « tringle de fer », fait un trou dans lequel il met un gland, puis rebouche le trou. Le narrateur comprend qu’Elzéard Bouffier plante des chênes et, ce jour-là, il en plante cent, « avec un soin extrême ».
Pour ceux qui aiment Giono… Pour ceux qui ne connaissent pas…
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